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Géographie des Hommes - Géométrie des Dieux

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12 février 2010

Des maillages subtils...

   Grâce à des photographie aériennes, les scientifiques observèrent que les 3 pyramides sont placées sur une spirale logarithmique. Ainsi ils retracèrent la spirale jusqu’à sa source et trouvèrent cet endroit particulier dans le désert à quelque kms des pyramides

photo_12_spirale création Dane

   Une autre spirale part à partir d’un autre trou non loin du premier, dans une direction différente. Ces spirales ont été créé dans la quatrième dimension ( dimension que nous ne percevons pas ), par Thot, Râ et Araragat, il y a bien longtemps…Chaque intersection que créés ces deux spirales, détermine un lieu énergétique, pour ainsi dire il y en aurait 83 000 sur toute la surface de la terre.

Tous les endroits sacrés de la terre, à peu d’exception près, ont été planifiés dans la quatrième dimension par la conscience universelle. Et de nos jours, la plupart de ces endroits ont une contrepartie dans la troisième dimension, c’est à dire des bâtiments construits en certains endroits et visible à l’œil nu. Il y a cependant quelques lieux très important qui n’ont que des structures dans la quatrième dimension. Ces pyramides dans la quatrième dimensions représentent l’énergie neutre ou l’enfant sur le treillis Christique. Celui-ci entoure la Terre et comporte trois aspects – le père, la mère et l’enfant. Le père est en Egypte, la mère est au Pérou – Yucatan – Pacifique-Sud, et l’enfant est au Tibet.

   Le plateau de Gizeh d’où partent les spirales, communique avec un autre lieu qui est une petite île de Moorea, dans le pacifique, au niveau des îles Tahitiennes. Si vous traversiez la Terre de part en part depuis Moorea, vous ressortiriez en Egypte. Le pôle de Moorea est négatif ou féminin et le pôle égyptien est positif ou masculin. Tous les emplacements sacrés sont rattachés au pôle égyptien et ils sont tous reliés les uns aux autres grâce à l’axe central qui passe par Moorea.

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12 février 2010

Ces lieux qui communiquent avec les DIEUX

   Les Anciens déterminaient des centres d’énergie vibratoire qu’ils appelaient « Omphalos » ; du grec : nombril, centres qui leur servaient d’emplacement pour honorer les Dieuxphoto_09_Pythie_o__pr_tresse ( une Prêtresse ou Pythie) à travers les temples, cromlechs, collines et sources sacrées, routes commerciales, nécropoles et autres zodiaques. Le plus connus de ces Omphalos est celui de la Pythie à Delphes photo_09_bis__Nombril_du_Monde, centre du monde grec et qui marque la place où le dieu Apollon fixa, lui-même le « genius loci », l’esprit du Dieu du lieu.

   

   

Les Etrusques disposaient les villes suivant des structures cosmiques précises. Ce savoir était détenu par une caste spéciale du clergé : les « Augures » et ceux-ci disposaient d’Acquilices, sortes de sourciers dont la mission était de trouver des puits et d’aménager des sources. Le soi-disant «  Lituus » ( photos ci-dessous : médaille runique ( ? ) de Harlingen ) qu’ils utilisaient à cet effet, était une sorte de baguette courbée en forme de crosse qui leur servait également à déterminer les limites administratives saintes séparant contrée et pays.

Cette crosse, reprise par les Druides et plus tard, par les missionnaires irlandais servait, comme il a été indiqué, à la détermination des sources, mais aussi à celle des colonnes d’eau que les Anglo-saxon appellent « blind Spring ». Par cette dénomination, il faut entendre une sorte de geyser d’eau sous pression dirigé verticalement mais qui ne jaillit pas sous forme de source, à la surface de la terre. Cette eau présente l’avantage d’être polarisée positivement ce qui lui confère des propriétés vibratoires particulière. Le christianisme a associé à ces sources saintes les saints que nous connaissons ( St Yord, St Celestin…).

photo_10_le_Lituusphoto_11_le_lituus

                                                                                                                                                                                           

   

   D’après R.Endros, ces lieux exercent des effets particuliers sur notre sensibilité par l’augmentation de l’activité des photo_11bis_Wyvern_Liber_Floridus_1_glandes surrénales. Ces effets ont été mesurés à l’aide d’appareils scientifiques réglés sur une plage de micro-ondes situés entre le centimètre et le décamètre. A partir du rayonnement émis en ces lieux, sous des intensités et polarités différentes, l’Homme peut, suivant sa propre sensibilité, soit capter grâce à une antenne : ce dragon ou serpent ou encore Wouivre des Anciens, soit, tout simplement, entrer en résonnance avec le lieu et, alors, s’y sentir bien ou au contraire le fuir. Cette résonnance est appelée «  énergie émotionnelle ».

La photo ci-contre est la représentation symbolique de cette énergie qui circule dans les entrailles de la terre et également au delà de la croute terrestre, c' est à dire dans l' espace.

Parole Amérindienne :

« il y a des endroits, il y a des moments où les Hommes ont besoin que s’ouvre le ciel et la terre ».

Depuis la nuit des temps toutes les civilisations des divers continents ont toujours choisi où ont été attirés par des lieux qu’ils affectionnaient afin de s’unir avec le cosmos et de communiquer avec leurs dieux ( s’agirait-il d’êtres venu de l’espace ? ). Ces lieux n’ont pas été choisi au hasard mais correspondent à une géométrie bien précise, c’est ce que je vais vous faire découvrir..

            

                                 

12 février 2010

Harmonie du ciel et de la Terre

LES LEYS

   

   En France et en Grande-Bretagne, deux autres sectes, formées de soi-disant druides, s’attachent à prouver leurs liens directs avec une antique tradition. Il s’agit de deux groupes rivaux qui disent continuer les pratiques des anciens druides, ces prêtres- magiciens de la civilisation celtique pré-romane.photo_01photo_02

   

   

   En fait, ces deux sociétés n’existent que depuis deux cents ans, mais elles ont déployé des efforts systématiques pour faire revivre les traditions mystiques des Celtes. Leurs célébrations ,qui ont lieu chaque été au site préhistorique de Stonehenge, attirent beaucoup de Britanniques et nombreux sont les participants qui disent y trouver un rafraîchissement spirituel et tirer des rites druidiques un bénéfice psychologique.

   Autre objet de fascination constante pour les Britanniques à la recherche des leçons perdues : le Glastonbury Zodiac

photo_03_zodiac_glastonbury

                                                                                                                               

   Il s’agit d’une carte ancienne que l’on dit avoir été établie pour représenter l’Angleterre occidentale à partir de routes et d’ouvrages de défense antiques. Cela fait partie des curieux leys — lignes de forces subtiles et mystérieuses — qui  couvriraient tout le territoire européen.

   L’existence de ces leys a été affirmée dans les années 1920 par un passionné de l’antiquité, Alfred Watkins. Bien que photo_04_les_Leysles archéologues professionnels se soient montrés sceptiques, Watkins a soutenu avec force qu’il existait de mystérieux alignements concernant des bornages très anciens de la campagne anglaise. Il avait constaté que des pierres et des camps préhistoriques étaient disposés en ligne droite sur des dizaines et parfois des centaines de kilomètres...

                                                                                                                                                                                        

..., de même que des vieilles églises étaient souvent construites sur le site d’anciens temples. La nature et le nombre de ces alignements semblaient défier les lois du hasard, et Watkins en concluait que tout cela avait un sens. Il avançait l’idée qu’il pourrait s’agir de vieilles routes commerciales. Mais il ne semble pas qu’il ait pensé à une signification occulte particulière.

    Plus récemment, des Anglais, notamment John Michell, se livrant à des recherches sur l’antique sagesse, sont parvenus à la conclusion que, si certains alignements peuvent correspondre à des pistes de l’âge de pierre, leur signification est avant tout magique… Des prêtres des temps anciens, qui avaient connu l’univers intuitif du savoir lunaire, auraient prétendu avoir découvert les lignes suivant lesquelles passaient des énergies inconnues et ils avaient matérialisées en les jalonnement d’édifices divers. Ces constructions répondaient à une double finalité. D’une part elles donnaient une image précise du réseau des leys, ce qui permettait d’éviter que des obstacles s’opposent au flux des forces naturelles. D’autre part, elles rendaient possible l’utilisation de ces énergies _ pour recharger le potentiel spirituel des humains comme on recharge une batterie d’ automobile.

   Quelle était _ quelle est _ la nature de ces énergies qui passent le long des leys ? John Michell voit la réponse à cette question dans la théorie de Wilhelm Reich, savant non orthodoxe, d’origine austro-hongroise, qui, chassé de l’Allemagne hitlérienne, s’établit aux Etats -Unis dans les années 1930. Ex-disciple de Freud, il avait rompu avec son maître en développant une nouvelle théorie originale. Reich prétendait avoir découvert ce qu’il nommait l’Orgone energy. C’était, selon lui, la substance de base de l’Univers, dont dérivaient toutes les autres formes d’énergie et la matière elle-même. Et il pensait que cette orgone energy pourrait tout permettre à l’homme le jour où il saurait l’utiliser. Elle pourrait écarter les orages en dispersant les nuages, changer le climat des déserts, propulser avions et fusées, etc. Reich était certain que les soucoupes volantes existaient et qu’elle évoluaient grâce  à cette énergie.

   Mais selon John Michell et d’autres chercheurs, l’énergie découverte par Reich existe bel et bien. Il s’agit d’ailleurs moins d’une nouveauté que d’une redécouverte de la fameuse énergie courant le long des leys. De nombreux abris préhistoriques trouvés le long de ceux-ci étaient en effet construits en couches alternées de matériaux organiques et inorganiques comme les accumulateurs de Reich. Ces accumulateurs primitifs servaient à de nombreux usages : soigner des malades, ( rôle qu’exercent les Cathédrales sur l’être humain !…) initier au monde du savoir lunaire, et même voler dans les airs. Les initiés de ce temps connaissaient l’art de charger d’énorme blocs de pierre de l’orgone energy pour les faire s’élever et voler dans l’air le long des leys.

photo_05

   

   La plupart d’entre nous considéreraient de telles idées comme folles. Mais beaucoup de vieilles légendes britanniques font état d’objet volant. L’une des plus connues conte l’histoire d’un druide nommé Bladud qui vivait à Bath, ville renommée pour ses sources thermale. Selon les chroniqueurs du moyen-Age, Bladud était un philosophe magicien qui avait été initié à tous les mystères des anciennnes religions de la Grèce et de la Grande-Bretagne. Il fonda un collège druidique et éleva un temple à Minerve, qu’il éclaira avec une lampe qui brûlait perpétuellement. Enfin il construisit une machine volante. Celle-ci volait très bien, mais elle s’écrasa un jour au sommet de la colline_ celle où s’élève maintenant la cathédrale Saint-Paul, à Londres_ , causant la mort de Bladud.

    Les occultistes qui voient dans les leys des canaux de l’orgone energy disent que Bladud était alors en train de voler sur un bloc de pierre le long d’un de ces leys. Pour une raison inconnue, une rupture se serait produite dans le flux d’énergie et aurait causé la chute mortelle de Bladud. Ils font observer que la colline où il s’écrasa se trouve être le point culminant d’un ley.

    Peut-on croire que les mystiques de l’antique Albion avaient la maîtrise de technique qu’ignorent encore nos savants et nos ingénieurs ? Nous n’en s’auront jamais rien. Mais la compréhension du monde de l’esprit ne fut pas l’apanage exclusif de l’Egypte ou de l’Asie. L’Europe aussi a eu ses rites secrets.

                                             

                                                photo_06

    Au début des années 1920, un commerçant anglais de 65 ans qui se livrait à l’archéologie en amateur, Alfred Watkins, faisait du cheval dans les collines de son photo_07pays natal, le Hereforshire. S’arrêtant pour regarder le paysage familier, il vit soudain sous un jour entièrement nouveau, sillonné de ligne droites, comme des fils de fer très brillants, enchevêtrées qui se coupaient en des points où se trouvaient des églises ou marqués par des pierres anciennes. Cette expérience fantastique détermina le cours futur de ses recherches, comme cela arrive souvent à ceux qui connaissent de subtiles visions de ce genre. Il fut convaincu d’avoir vu en un éclair le paysage de la Bretagne antique, couvert d’un énorme réseau de routes rectilignes dont un grand nombre était aligné soit avec le soleil, soit avec le parcours d’une étoile. Il appela ce réseau le « système ley » parce que les noms des lieux qui jalonnaient ces pistes rectilignes se terminaient très souvent par -ley, -ly, et -leigh.

                                                                                                                                              

   Watkins fut fortifié dans sa révélation en étudiant une carte d’état major. Il s’aperçut que des lignes droites reliaient, sur des kilomètres, des églises, des sites antiques et des repères artificiels. Il semble que pour des raisons que nous ne connaissons pas encore, à moins que ce ne fût pour des motifs commerciaux, des routes rectilignes furent tracées bien avant les Romains. Mais bon nombre de ces pistes traversent des régions peu accessibles sans chercher à contourner des lacs, des marécages ou des montagnes ; on est donc tenté de penser qu’elles sont bien plus qu’un simple réseau de voies commerciales. Ces routes sont jalonnées de repères artificiels, tels que des tumulus bâtis sur les pentes montagneuses ou des entailles découpées dans des crêtes, aussi bien que de divers sites antiques.

    Watkins fut tourné en dérision pour sa théorie parce que les historiens de l’époque dépeignaient alors les Bretons préhistoriques comme à peine plus évolués que des sauvages , peinturlurés. Mais il s’accrocha à son idée, accumula des preuves et les publia en 1925 sous le titre The Old Straight Track. Peu à peu, d’autres archéologues rallièrent à ses opinions et entreprirent eux aussi des recherches.

    L’un d’eux, Guy Underwood, était un archéologue amateur qui apprenait l’hydroscopie, c’est à dire l’art du sourcier, photo_08pour mener ses expériences. Avec sa baguette divinatoire, il parcouru tout le pays, visitant les vieilles églises et les sites antiques traditionnellement considérés comme des lieux de culte ( ex : la Basilique d’Orcival en Auvergne conserve encore toutes les caractéristiques d’une construction bâtie sur un ancien lieu de culte ).

   Il constata qu’au centre de chaque cercle de pierres, et à un endroit clé de chaque église, se trouvait une source d’énergie souterraine. Plusieurs lignes d’eau convergeaient vers cet endroit, tels des rayons. Il appela cet endroit une « source  aveugle ». Mais il découvrit aussi deux autres lignes de force souterraines qui, sans être nécessairement liées à la ligne d’eau, avaient un action sur la baguette de sourcier. L’une d’elles, un « aquastat », régissait apparemment le tracé de monuments religieux et déterminait la position des pierres, des fossés ou des bâtiments. L’autre, une « piste », semblait déterminer le parcours des routes et des sentiers. Underwood donna à toutes ces lignes de forces souterraines le nom de « ligne   géodésique ». Il crut que l’homme utilisait autrefois ces lignes essentiellement pour borner et diviser la surface de la terre. Mais ses recherches le conduisirent à penser que les constructeurs de la préhistoire et du Moyen-Age avaient placé des sites sacrés et aligné les ouvrages qu’ils y érigèrent, en fonction de lois géodésiques.

    En d’autre termes, ils connaissaient l’existence des lignes de force qui traversaient la terre et avaient en quelque sorte essayé de les exploiter à des fins bénéfiques. Underwood s’aperçut par ailleurs que les alignements superficiels de Watkins étaient souvent parallèles à une ligne de force souterraine.

                                                                                                                                                                                               .

                                                                                     

9 février 2010

Géobiologie et Géomantie

Qu'est-ce que la géobiologie ? La question mérite d' être posée car le terme ne figure pas encore au dictionnaire. C'est lors du premier Congrès Français des enseignants en Géobiologie que celle-ci reçut sa première définition française officielle. Le terme géobiologie provient du grec :

GEO qui veut dire TERRE?

BIOS qui représente le VERBE, LA VIE, LA CREATION et

LOGOS qui est LA VIBRATION, LE DISCOURS.

Partant de là, " la géobiologie est une discipline qui cherche à comprendre les différents rapports entre l' environnement local et la santé des êtres vivants. Son but consiste à étudier les effets des forces cosmo-telluriques en présence de tout ce qui vit, et à détecter tout phénomène perturbateur ayant des conséquences sur la santé de l' homme, de l' animal, de la plante et, peut-être, du minéral ". La géobiologie utilise les informations fournies entre autres, par l' astrophysique, la géophysique, la géologie, la biologie, l' hydrologie, l' électronique et l' apport de la tradition.

voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Géobiologie_(radiesthésie))

8 février 2010

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7 février 2010

Géographie des Hommes - Géométrie des Dieux

   

terre1

 

 

   Le choix de ces lieux d' implantation est-il déterminé par le hasard ou répond-t-il à des lois cosmiques ? ...Les anciens passaient pour connaître les règles essentielles permettant de déterminer le lieu pour édifier églises, châteaux, calvaires ou autres temples des dieux.Ceux-ci étaient connus à travers les diverses cosmogonies et implantés en toutes régions de la terre. En donnant à ces constructions des proportions issues des rythmes de la nature, ils firent de la géométrie le langage des divinités cosmo-telluriques. Ainsi naquit la géométrie sacrée différente de celle connue aujourd'hui où apparaissent les diverses proportions et vibrations énergétiques utiles à l' harmonie céleste...

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Bonjour à tous !

Après  mon 1er blog http://mystereetsacre.canalblog.com/ je vais essayé de vous faire partager au mieux mes différentes recherches et constatations, sur un sujet qui m' a amené à une certaine compréhension du monde dans lequel nous baignons tous, et qui le plus souvent échappe au simple mortel ...

LA GEOGRAPHIE SACREE .

 

Certaines rubriques ne possèdent aucun texte pour approfondir le sujet, je crois que seule l'image parle d'elle-même...

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Sceau1

 

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